BLOG Santé-Immunité

Archive pour décembre, 2011

Le créateur d’IMMUNOCAL, le Dr Gustavo Bounous, n’est plus

jeudi, décembre 29th, 2011
En mémoire du Dr Gustavo Bounous

C’est avec beaucoup de tristesse que j’ai appris en cette fin d’année 2011, le décès du père de l’Immunocal , le docteur Gustavo Bounous. Le Docteur Bounous s’est précisément éteint le lundi 26 décembre à l’âge vénérable de quatre-vingt-trois ans.

J’ai personnellement eu le privilège de rencontrer ce grand découvreur et avant-gardiste du segment immunitaire à près d’une dizaine de reprises, et jamais je n’oublierai notre premier face-à-face, en novembre 2000.

GUSTEVE1
Il m’avait sidéré, lorsque je lui avais demandé s’il prévoyait que le cancer allait augmenter sur la planète. “Le cancer ne va pas augmenter, d’ici 2010, il va littéralement exploser” avait-il dit, avant d’ajouter qu’une consommation quotidienne de cystéine,  précurseur de glutathion, serait notre meilleur allié…
Bref, c’est un deuil pour la grande famille d’Immunotec et tous ceux et celles qui ont eu la chance de le côtoyer.
En tant que découvreur d’Immunocal MD, le Docteur Bounous a créé un produit qui a eu un impact sur plusieurs milliers de vies. En cette période de grande tristesse, il est réconfortant de savoir que son génie n’a pas seulement existé dans un laboratoire de recherche, mais il perdure dans la meilleure santé d’innombrables personnes, qui ont bénéficié et profite encore aujourd’hui d’Immunocal.
Le co-fondateur d’Immunotec, Dieter Beer, qui a subventionné ses recherches en investissant dans les brevets initiaux pour Immunocal, se souvient du Docteur Bounous comme d’un visionnaire aimable, qui personnifiait l’enthousiasme et l’humeur. « Un des événements marquants de ma vie fut l’occasion de le rencontrer et de travailler avec lui, » explique-t-il. Il a eu un profond impact sur moi et je lui en suis grandement reconnaissant. »
Le vice-président recherche et développement d’Immunotec, John Molson a été le bras droit du Docteur Bounous pendant plus de dix ans. « La plupart d’entre nous passons notre vie à reconnaître le génie de loin, que ce soit un jeune prodige dans une salle de concert ou un athlète professionnel exécutant une performance qui défie les lois de la physique. Avoir eu l’occasion de travailler avec une personne de cette brillance ayant surpassé de loin ses tâches scientifiques est une expérience qui a changé ma vie. Je me sens très privilégié d’avoir rencontré et travaillé avec un tel génie dont le travail fera une différence dans la vie de millions de personnes pour les générations à venir. »
Le Docteur Jimmy Gutman, consultant médical principal pour Immunotec, a été le médecin personnel du Docteur Bounous pendant plusieurs années et également un de ses étudiants avides. « Être en sa présence fut l’une des expériences les plus enrichissantes de ma vie, » de dire le Docteur Gutman. « Il nous a enseigné beaucoup plus que la science, il était un véritable humanitaire dont le seul objectif de vie était d’améliorer la vie d’autrui. »

Alzheimer, ou ne plus se souvenir…qu’on ne se souvient plus

samedi, décembre 24th, 2011

Lettre à mon cher et tendre « mon oncle Léo » !

Quand j’y pense, l’Alzheimer, quelle terrible maladie. Ne plus se souvenir … qu’on ne se souvient plus. Seuls les proches, souvent laissés à eux-mêmes, vivent quotidiennement un des pires drames qui soit pour un humain et surtout pour ceux et celles qui leur survivent et les aiment: ne plus avoir connaissance qu’on est là…

Victime de la maladie d'Alzheimer

J’ai eu la douleur de perdre mon cher « mon oncle » il y a de cela déjà trois ans. Vous savez, le genre de « mononcle » qu’on ne peut pas faire autrement que d’aimer, tellement c’était un bout en train, toujours de bonne humeur et présent pour nous lorsque nous étions de petits enfants. Je vous en parle, et instantanément, la peine m’envahit. Ma seule consolation, c’est que sa souffrance est terminée, mais pas celle de sa tendre et douce moitié, ma tante Jeanine, qui jusqu’à la toute fin le 3 octobre 2008, , aura veillé sur celui avec qui elle aura partagé sa vie entière, puisque Jeanine et Léo n’ont pu avoir d’enfants. Mais disons que l’amour qu’ils leurs auraient dévolu, ce sont toutes les petites nièces et tous les petits neveux dont j’ai eu le privilège de faire partie, qui en ont bénéficié.

Pour revenir à Léo, les habitués du Club de Golf Venise en Estrie, situé entre Magog et Sherbrooke, où il a eu le bonheur de vivre sa passion jusqu’à ce qu’il n’en ait plus connaissance, le golf, vous le diront: Léo était un dyamo, toujours animé d’une grande joie de vivre… En l’espace de quelques années toutefois, la maladie l’a monstrueusement diminué et miné, avant de finalement l’anéantir.

Et sa mort, outre de laisser un grand vide, nous rappelle la chance que nous avons d’être en santé mais aussi à l’opposé, une dure et triste réalité; un profond désarroi auquel sont malheureusement confrontés de plus en plus de gens.

A preuve, au cours de la présente année 2011 seulement, plus de 103 000 Canadiens apprendront qu’ils souffrent de la maladie d’Alzheimer. Des chiffres appelés à exploser au cours des prochaines décennies.

Peut-être qu’un jour, la recherche contribuera à alléger la maladie et la souffrance qu’engendre l’Alzheimer. Mais entre temps, je crois important de vous mentionner que l’Alzheimer, tout comme 200 maladies dégénératives, est caractérisée par de très faibles niveaux de GLUTATHION. Et aussi de vous rappeler, que la découverte du Dr Gustavo Bounous, l’IMMUNOCAL, est le seul produit naturel, sain et sans danger, scientifiquement prouvé et même reconnu par Santé Canada notamment, pour permettre à notre corps de produire cet indispensable glutathion, que l’on appelle aussi « nourriture de système immunitaire ».

Alors, vous qui avez pris le temps et la peine de lire cette histoire, vous pouvez tourner la page et même l’oublier, avant de replonger dans le grand tourbillon de la vie. Mais si au contraire, vous voulez vous souvenir, et minimiser les probabilités qu’un être cher soit dévasté par l’Alzheimer, vous pouvez toujours partager à vos proches et amis, ce clin d’oeil, tout en amour à « mon cher et tendre oncle Léo » .

Tante Jeanine, moi, oncle Léo et leur filleule Josée